Sujet: Une des plus grandes découvertes du siècle : on a retrouvé la mémoire de l'eau Ven 9 Jan 2015 - 2:19
Un reportage de 45 minutes de Christian Manil " on a retrouvé la mémoire de l'eau" est en train de bouleverser les conceptions que l'on a de la biologie et de la médecine.
Il y est démontré que l'on peut non seulement coder un ADN tout entier sur de l'eau liquide, mais aussi lire la trace électromagnétique mémorisée sur cette même eau liquide pour reproduire fidèlement l'ADN utilisé lors de la dilution... Selon Luc Montagnier, il serait même possible d'identifier des bactéries encore inconnues de la science et responsables de maladies graves par la simple trace électromagnétique qu'elles laissent dans le sang.
Traiter les maladies par les ondes
Un nouveau domaine de la médecine qui fait peur à l’industrie pharmaceutique.
[size=13]A l'origine...[/size]
Le Galilée du XXe siècle
Jacques Benveniste, affirmait avoir découvert que l’eau serait capable de garder en mémoire les propriétés des molécules avec lesquelles elle a été en contact, même lorsqu’elles ne s’y trouvent plus!
Mort en 2004, Jacques Benveniste, chercheur à l’Inserm, fut au centre d’une controverse mondiale avec sa thèse sur la mémoire de l’eau. Appliquant cette théorie à ses propres recherches, le prix Nobel de médecine Luc Montagnier a fait un constat surprenant qui provoquera peut-être une révolution en matière médicale...
la découverte du caractère vibratoire des signaux des maladies ?
Jacques Benveniste
A l’origine de la vie sur Terre, l’eau est indispensable à la survie des espèces. Mais, pour certains scientifiques, cet élément fondamental aurait des capacités insoupçonnées. Dans les années 1980, un médecin immunologue de renom, Jacques Benveniste, affirmait avoir découvert que l’eau serait capable de garder en mémoire les propriétés des molécules avec lesquelles elle a été en contact, même lorsqu’elles ne s’y trouvent plus. Une étonnante théorie qui a fait l’objet d’une énorme controverse.
Rapidement, la validité de ses travaux fut mise en doute et Benveniste, rejeté par la communauté scientifique. Mais, poussé par la curiosité, Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour la découverte du VIH, a repris ses recherches. Dès la première expérience sur le plasma sanguin de malades infectés par le virus du sida, il détecte des ondes électromagnétiques. « Ça a été une vraie surprise. Je ne m’y attendais pas et j’étais fasciné par ce phénomène », se souvient le médecin virologue, qui pense immédiatement aux « applications médicales ». Pour mettre en lumière les étonnantes propriétés de l’eau découvertes par celui qu’il considère comme « le Galilée du XXe siècle », Luc Montagnier a décidé de lever le voile sur ses recherches en cours et propose de réaliser, devant la caméra, une expérience surprenante : la transduction de l’ADN.
Vers la biologie numérique ?
Des molécules d’ADN d’un patient infecté par le VIH hautement diluées dans de l’eau stérile sont placées sur un capteur d’ondes électromagnétiques relié à un ordinateur. Le signal obtenu, numérisé, est ensuite envoyé par mail à l’université du Sannio de Benevento, en Italie. Après avoir exposé un tube d’eau pure à ces ondes numérisées, l’équipe transalpine utilise la PCR, une technique révolutionnaire qui permet de répliquer une séquence d’ADN. Contre toute attente, une molécule identique à 98 % à l’originale parisienne a bien été reconstituée dans la solution aqueuse.
L’eau aurait donc bien une mémoire !
Et les ondes électromagnétiques auraient les mêmes propriétés que la matière qui les a émises. Comment cela est-il possible ? Difficile de le savoir, car « le problème que ça pose actuellement, c’est que cela demande aux biologistes d’être à la fois des physiciens et des chimistes, et ça, ce n’est pas forcement facile pour eux », explique Marc Henry, professeur de chimie et de physique quantique à l’université de Strasbourg. Pour le Pr Luc Montagnier, qui travaille déjà sur des applications concernant le virus du sida, l’autisme, certaines scléroses en plaques, les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, les débouchés sont immenses. Car cette découverte remettrait en cause l’approche médicale actuelle, autant sur le plan du diagnostic que sur celui de la thérapie, le corps humain étant composé à 70 % d’eau. « Le jour où l’on admet donc que les ondes peuvent agir, on peut agir par les ondes, souligne Luc Montagnier. Et à ce moment-là, on peut traiter par les ondes. C’est un nouveau domaine de la médecine qui fait peur à l’industrie pharmaceutique. »
Amandine Deroubaix
(source : france5)
LA MEMOIRE DE L’EAU POURRAIT ETRE CONFIRMEE
Luc Montagnier avance vers une découverte beaucoup plus fondamentale que celle du SIDA. La nature vibratoire de l’information moléculaire et génétique, des maladies et de la transmission des informations.
Par Olivier Soulier
Le prix Nobel Luc Montagnier confirme par ses travaux “ la mémoire de l’eau “ découvert par Jacques Benveniste. Le principe d’action de l’homéopathie se trouve ainsi enfin confirmé ou en voie de l’être de façon scientifique. Mais ses travaux vont encore plus loin . Un pas essentiel, peut-être le plus important depuis des décennies vient d’être franchi par la science.
Souvenez-vous des travaux de Jacques Benveniste, immunologiste de renom. Le 30 juin 1988, le journal Le Monde titre : « Une découverte française pourrait bouleverser les fondements de la physique : la mémoire de l'eau », en faisant écho à la publication de Benveniste dans la revue scientifique Nature la même année. Cela donnait aussi une base de preuve scientifique de l’action de l’homéopathie au delà de présence moléculaire, grâce à la mémoire que l’eau aurait des molécules qu’elle a contenues.
MERCI MONSIEUR BENVENISTE.
Très vite il est accusé de fraude. Sa découverte fondamentale discréditée, il sera évincé de L’INSERM en 95. L’homéopathie restait imaginaire et non prouvée.
Lors d’une conférence à Lugano le 27 0ctobre 2007, sur le thème “ Nano éléments de micro-organisme pathogènes” Luc Montagnier codécouvreur du sida et bientôt prix Nobel de médecine rend hommage aux découvertes de Jacques Benveniste sur la mémoire de l’eau : “ au début je ne l’ai pas suivi, mais il se trouve que mes travaux sur le SIDA m’ont conduit a me rapprocher de ses idées “, et en pratique de les confirmer. “L’eau a une structure très complexe. Les atomes s’échangent des signaux à distance comme on le fait avec nos téléphones portables ; la nature l’a fait avant nous.”
Et si votre découverte du SIDA n’avait servi qu’à vous donner le NOBEL qui vous permet aujourd’hui de poser ces découvertes colossales. Résumons la teneur de ces découvertes qui dépassent largement le principe de la mémoire de l’eau. L’ADN selon Luc Montagnier est la base de la mémoire, la mémoire génétique qui a des milliard d’années. Il s’interroge même sur le fait que la mémoire de l’eau ait pu exister avant la mémoire de l’ADN. Il nous dit que nos structures au delà de leur structure vibrent. Un sang infecté par une bactérie le mycoplasme “Mycoplasma pyrum”, est filtré par des filtres à 20 nanomètre et il ne reste plus aucun mycoplasme, ni aucune partie de son ADN base de son information. Des test avec PCR et PCR Nested confirment ce point. Ce filtrat ne contient presque plus que de l’eau. Il le mélange avec une culture de lymphocytes non infectés. Les mycoplasmes réapparaissent spontanément au bout de 8 à 21 jours. Montagnier propose l’idée que l’information contenue dans l’ADN est transmise à la structure de l’eau qui est en fait très complexe. Puis cette information peut être retransmise. L’action de l’homéopathie est ainsi démontrable. Mais il va plus loin. Le filtrat qui a contenu le Mycoplasme émet des ondes électromagnétiques spécifiques de très basse fréquence 500 à 2000 Hz et qui seraient la base de l’information. Il va encore plus loin, il faut enlever le micro-organisme pour détecter le signal. Ce signal n’est souvent perceptible que si le liquide est dilué. La concentration bloquant l’émission du signal par saturation. La structure inhibe le signal, et le réseau vibre s’il est dilué. Il n’y a pas de parallélisme entre le nombre de bactéries et le signal. Il faut parfois diluer au delà de 10 moins 18, où il n’y a plus aucune molécules comme dans l’homéopathie. C’est la validation du principe de dilution imaginé par Hahnneman. On peut retrouver ces vibrations dans le sang de patients infectés par ces bactéries, mais aussi dans le sang de patients atteints de maladies non infectieuses comme la PAR, la SEP, la maladie d’Altzheimer, le Parkinson qui émettent aussi un signal spécifique.
La question est : ont-elles un facteur infectieux inconnu, ou beaucoup plus probablement, est-ce la découverte du caractère vibratoire des signaux de la maladie ?
La source des signaux est l’ADN. Ce message génétique pourrait être transmis à l’eau, qui pourrait conserver ce signal et l’émettre, comme elle peut conserver le signal de molécules plus simples comme l’a démontré Benveniste. Ce sera alors la plus grande découverte du siècle, depuis que le génial Hahnneman inventeur de l’homéopathie a évoqué ces principes il y a deux siècles. Il avait tout compris. La maladie est une information, cette information comme celle des remèdes peut être transmise surtout quand elle est diluée. Les structures ont une mémoire et une information de santé ou de maladie.
Le Pr Montagnier travaille à des méthodes d’identification de ces vibrations. Cela va révolutionner beaucoup plus que la médecine. Il nous dit “l’erreur de la science est de dire, ce que l’on ne comprend pas n’existe pas”. Il nous cite Carl Sagan “ l’absence d’évidence, n’est pas l’évidence de l’absence”.
(source : bieneauquotidien)
Luc Montagnier
Luc Antoine Montagnier est un biologiste virologue français, né le 18 août 1932 àChabris, dans l'Indre. Le 6 octobre 2008, il est colauréat avec Françoise Barré-Sinousside la moitié du Prix Nobel de physiologie ou médecine, pour leur découverte en 1983 du VIH, le virus responsable du SIDA.
Il est professeur émérite à l'Institut Pasteur, où il a dirigé, de 1972 à 2000, l’Unité d’Oncologie Virale, directeur émérite de recherche au Centre national de la recherche scientifique et ancien professeur à l'Université de New York. Il est membre desAcadémies des Sciences et de Médecine.
En 2010, Luc Montagnier a annoncé qu'il prenait la direction d'un nouvel institut de recherche en Chine à l'université Jiaotong de Shanghai, où il poursuit ses recherches sur la formation dans l'eau de nanostructures induites par l'ADN.
Recherche en cours
Dans deux publications datant de 2009, l'équipe de Montagnier a décrit une propriété inédite de l'ADN d'agents infectieux, les bactéries dans un cas et le VIH dans l'autre : l'ADN induirait des nanostructures dans l'eau émettant des ondes électromagnétiques de basse fréquence après filtration, agitation et dilution (voir Mémoire de l'eau). Cela ouvrirait la voie à un système de détection hautement sensible des infections bactériennes chroniques humaines et animales. Le professeur Montagnier espère se servir de ces signaux électromagnétiques, support d'une mémoire qu'aurait gardée la solution où s'est trouvé l'ADN de l'agent infectieux, comme d'un marqueur biologique de l'infection. Il émet l'hypothèse que des bactéries seraient impliquées dans l'autisme et d'autres maladies chroniques.
Fin 2009, à la suite de sa participation au colloque organisé par l'ADNO et l'Association ARIANE, il décide, avec les docteurs Rueff et Skorupka, de former un groupe de recherche et de traitements à propos des maladies chroniques, qui prend le nom de CHRONIMED. Depuis lors, cette équipe de chercheurs et de médecins se réunit régulièrement à l'UNESCO. L'infectiologue, chef de service, Christian Peyronne participe à ce groupe, qui identifie des cofacteurs infectieux à ces affections chroniques et les signaux électro-magnétiques des infections qui sont identifiés dans son laboratoire. En janvier 2012, et à la suite d'une intervention très remarquée à l'Académie de médecine, il publie sur ce blog un article sur la piste infectieuse de l'autisme.
Au cours de la conférence Decoherence, Information, Complexity and Entropy (DICE2010), à laquelle il est invité, il montre que les signaux électromagnétiques émis par une solution contenant de l’ADN de VIH peuvent, sous certaines conditions, rendre « active » de l’eau pure sous un champ magnétique de 7 Hz appliqué pendant plus de 18 heures. Si l'on ajoute tous les ingrédients nécessaires, l’eau pure ainsi « informée » serait capable, selon les expériences réalisées, de régénérer de l’ADN identique (à 98 %) à l’ADN initial, ADN de préférence bactérien ou viral.
En 2010, à l'âge de 78 ans, il est recruté dans le cadre de son projet par l'université Jiao-tong de Shanghai, en Chine.
Luc Montagnier : « Je crois que c’est l’une des façons d’aborder le problème pour diminuer le taux de transmission. Je crois qu’on peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de manière chronique. Si vous avez un bon système immunitaire, il se débarrassera du virus en quelques semaines. Et c’est cela aussi le problème des Africains : leur nourriture n’est pas très équilibrée, ils sont dans un stress oxydatif, même s’ils ne sont pas infectés par le VIH. À la base, leur système immunitaire ne fonctionne pas bien, et donc peut permettre au virus de rentrer dans l’organisme et d’y rester. ».
(source : wikipedia)
Une des plus grandes découvertes du siècle : on a retrouvé la mémoire de l'eau