Bien prescrire : c’est donner l’antibiotique le mieux adapté, diffusant au site de l’infection,
bien toléré, à la posologie correcte et à la durée optimale mais c’est aussi réduire
son utilisation dans certaines situations courantes où une antibiothérapie n’est pas
justifiée (rhinopharyngites, angines non bactériennes, otites congestives, bronchites
aiguës…). Cette vision idéale est parfois entachée par une série d’incertitudes génératrices
de prescriptions inadéquates : diagnostic imprécis, absence de documentation
microbiologique, méconnaissance des recommandations, pression du patient ou de son
entourage, crainte d’une aggravation clinique.
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