En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu’il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X..- Même la NASA en 1982 va reconnaître l’existence possible de la planète X.
- Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l’espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l’Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d’Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c’est".
le télescope à infrarouge embarqué à bord d’un satellite américain dans le cadre du programme IRAS identifia formellement l’existence de cette planète, baptisée « Planète X » par les chercheurs de la NASA. Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que X. devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l’écliptique, qu’elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre.
- En 1987, la NASA reconnaît officiellement l’existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".
Nibiru existe donc bel et bien. Elle décrit effectivement une large orbite elliptique autour du Soleil (plus proche de celle d’une comète que de celle des autres planètes de notre système) et revient à proximité de la Terre tous les 3600 ans, comme Sitchin l’avait pressenti. Son orbite va dans le sens contraire de celui des autres planètes de notre système. Elle est actuellement cachée par la barre d’astéroïdes qui se trouvent entre Mars et Jupiter. C’est pour cette raison qu’elle a été découverte aussi tardivement.
Orbite de Nibiru- il est même désormais possible de l’apercevoir par intermittence à l’aide d’un télescope de taille moyenne, sans que l’on puisse toutefois encore l’identifier avec précision. Car le gigantesque corps découvert en direction d’Orion est si mystérieux que les astronomes ne savent pas encore s’il s’agit d’une planète, d’une comète géante, d’une ’’proto-étoile’’ (c’est-à-dire d’un corps céleste ne s’étant pas suffisamment réchauffé pour devenir une véritable étoile), ou d’un système formé d’une naine de couleur brunâtre enveloppée de poussière et entraînant une planète dans son orbite. ’’Nous savons qu’elle est là, qu’elle se rapproche de nous, mais nous ne savons pas ce qu’elle est.’’ a récemment reconnu Gerry Neugebauer, directeur scientifique de l’IRAS.
Nibiru revient donc vers nous. Elle est désormais relativement proche, tout juste au-delà de Pluton.
Pénétration de Nibiru au sein de notre système planétaire, suivant un angle d’une trentaine de degrés par rapport au plan de l’écliptique.
À la lumière des plus récentes données scientifiques, il existe un important faisceau de probabilités pour qu’elle passe à proximité de la Terre en 2012 ! et selon d’autres mesures 2300 (basé sur la vie de Moîse).
Selon différentes mesures effectuées par la NASA, dès 1995, elle était déjà suffisamment proche de notre planète pour l’influencer par son magnétisme. Et au fur et à mesure qu’elle s’est rapprochée de nous, l’effet rayonné de son champ magnétique a augmenté de manière exponentielle.
Certains chercheurs y voient une corrélation avec le phénomène actuellement observé de l’accélération de la résonance Schumann qui mesure la fréquence de la Terre (Cf. dossier Résonance Shumann). Car cette accélération vibratoire est liée à la perte de densité progressive de notre planète et aux perturbations gravitationnelles et électromagnétiques qui l’accompagnent.
Or, la pénétration d’un corps étranger dans notre système planétaire induit évidemment des bouleversements électromagnétiques au niveau de l’ionosphère, qui, à leur tour, perturbent l’équilibre des pôles magnétiques terrestres. L’éventualité du franchissement du fameux Point Zéro et d’un basculement des pôles est peut-être ainsi directement liée à la venue de Nibiru !
Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l’orbite singulière d’une comète suggère une planète cachée " écrit " bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mors pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s’y trouver encore". Cet article rapporte la découverte par une équipe d’astronomes, l’année précédente, d’une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans (3600 ans selon d’autres sources). Une autre étude de l’équipe de L’observatoire de Nice Côte d’Azur, parue dans Icare suppose que l’orbite de la comète pourrait être l’œuvre d’une planète encore invisible aussi grosse que Mars.
La mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes et des ufologues... De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse. Certain prophétisent le retour, dans les temps présents, de cette planète, qui se nommerait "Nibiru" (la Nibiru des Sumériens).
Une autre possibilité est que les militaires américains en soient venus à imaginer la mise en place des incroyables scénarios des Solutions 2 et 3 sur lesquels ils travaillent depuis les années 1960 (Cf. : L’étrange témoignage de Milton William Cooper à propos des bases sur la Lune), parce qu’ils avaient été alors avertis par les Zétas du retour de Nibiru !
Quoi qu’il en soit, la perspective de ce retour est désormais associée non seulement par des spiritualistes mais aussi par un grand nombre de scientifiques à celle d’un possible basculement des pôles induisant des phénomènes cataclysmiques en séries. Mais tout semble dépendre en fait de l’élévation vibratoire et du niveau de conscience que l’humanité aura atteint d’ici là, dans le cadre de sa progression sur le chemin de l’Ascension.